Je suis instit en maternelle. J’ai une classe de petits et de tout-petits. L’évaluation se fait dans trois directions : pour les enfants, pour leurs parents et pour moi-même.
La première évaluation se fait au jour le jour pour les enfants et avec eux. Elle prend la forme d’un fichier imagé, individuel et personnalisé qui permet à chaque enfant de savoir quelles sont les compétences qu’il a acquises dans tel ou tel domaine. Exemples : je sais dessiner un bonhomme, je sais partager un (...)
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Notation élèves
Articles
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* L’évaluation en maternelle / témoignage
8 février 2010, par Greg -
* Refuser les évaluations CE1 / CM2 : sursaut de conscience ou exigence pédagogique ?
8 février 2010, par GregPar Franck Antoine CNT Santé, social éducation 34
Une nouveauté qui empire l’existant Je ne suis pas un grand fan des évaluations, si je pense qu’elles peuvent avoir leur place dans l’éducation, elles le font souvent pour moi au détriment de l’apprentissage (temps consacré trop important, mise en relief des échecs ou des manques…). Cependant, je pouvais reconnaître une utilité aux évaluations de CE 2 qui avaient lieu avant à l’école primaire, sans les encenser. Elles pouvaient permettre (...) -
* La constante macabre, comme notation de et par les enseignants
7 février 2010, par GregPrenez cinq classes, sélectionnez les 5 meilleurs élèves de chaque classe et regroupez-les dans une nouvelle classe. Donnez-les à un prof dans le système classique de notation et il en fera, même inconsciemment, un tiers de bons élèves, un tiers d’élèves moyens et un tiers de mauvais élèves. Voilà le principe de la « Constante macabre » mise en évidence par André Antibi à travers de nombreux travaux au début des années 2000 : le système évaluation/notation traditionnel est une machine à (...)
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* Compétences : que faire avec (ou comment s’en débarrasser ?)
8 février 2010, par GregLe mot compétences a franchi les frontières de notre pédagogie très nationale du fait du socle commun, qui se traduit, tardivement et encore timidement, en livrets de compétences. Il déchaîne partout ailleurs de vraies discussions, et même dans l’espace francophone Belgique, Québec, Suisse, Afrique de l’Ouest… France exclue car toujours fière d’ignorer le monde. Comment s’y retrouver ?
Par Jean-Pierre Fournier
Certainement pas dans une définition claire du mot, car il y a autant de (...) -
L’expérience de l’Hautil
7 février 2010, par GregLe dossier évaluation propose des extraits du livre Pour une révolution pédagogique publié par notre camarade Jean-Luc aux éditions l’Harmattan. Nous reviendrons sur cet ouvrage dans notre prochain numéro.
L’école Célestin-Freinet de Triel était une école à deux classes de type rural, ce qui si près de Paris constituait déjà une première particularité. Elle accueillait, dès l’âge de 5 ans, les enfants du hameau de l’Hautil dépendant de la commune de Triel-sur-Seine dans les Yvelines. (...) -
Propos sur l’évaluation
5 février 2010, par GregNous proposons des extraits d’un texte que Nicolas Go a écrit sur le problème de l’évaluation, pour l’école Freinet de Rennes.
Nicolas Go, philosophe, est chargé du laboratoire de recherche au sein de l’ICEM, afin de faire évoluer les pratiques.
"Les sentiments qui peuvent être évalués n’ont aucune valeur."
N. de Chamfort -
* La docimologie ?
7 février 2010, par Greg« Étude des épreuves », la docimologie (dokime, épreuve en grec) entend analyser les ressorts cachées de l’évaluation. À l’origine, cette nouvelle discipline, fondée par Henri Piéron en 1922, entendait explorer les arguments scientifiques permettant la remise en cause des schémas traditionnels d’enseignement. Elle centre son étude sur l’influence de l’évaluateur, l’influence de l’énoncé, les objectifs de l’évaluation et ses risques.
En 1930, le professeur Laugier effectue une expérience (...) -
* Mais où est passée la note ?
7 février 2010, par GregLe collège Henri-Barbusse est situé à Vaulx-en-Velin, en banlieue lyonnaise. C’est un établissement présenté comme « difficile » : d’abord REP, puis prévention violence et enfin RAR (réseau ambition réussite). Les difficultés sociales des familles y sont très importantes. En 2002, quasiment 90 % des familles étaient classées dans la catégorie sociale « défavorisée » avec 65 % d’élèves boursiers.
Par Mickaël, CNT Éduc 69
À titre de comparaison, la moyenne des REP était alors de 40 % (...) -
Des ceintures de toutes les couleurs Pidapi : un outil d’apprentissage individualisé
7 février 2010, par GregLa démarche Pidapi (Parcours individualisés et différenciés des apprentissages en pédagogies institutionnelle) est un dispositif pédagogique réalisé par des enseignant-es qui sont dans des classes, utilisent cet outil, ne sont pas rémunéré-es mais regroupé-es en association 1. Je présenterai dans cet article la globalité de la démarche puis m’attarderai sur l’évaluation des élèves qui en découle. En annexe, nos documents de travail afin d’appréhender pratiquement ce que nous utilisons. (...)
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Pour une stratégie de l’opacité ! Le bac anonyme : un art de la performance ?
8 février 2010, par GregNombre de pédagogues, y compris à la CNT, sont prêts à renoncer au baccalauréat, voire militent pour sa disparition, au nom du respect des élèves, de la finalité émancipatrice de l’éducation, bref de la réalité de leur travail contre la norme factice et présumée castratrice de l’évaluation finale et nationale.
Par Patricia Jardin, CNT éducation 56